Le contexte français
L’intégration progressive des Médecines Complémentaires dans le système français.
Le contexte français en perspective
Régulièrement la littérature scientifique vient démontrer les apports bénéfiques de certaines pratiques de bien-être (Les études scientifiques). Des pays, et en premier lieu les Etats-Unis, consacrent une partie de leur budget de recherche médicale à l’étude de certaines pratiques. L’Union européenne, elle aussi, s’est prononcée depuis plus de 10 ans maintenant en faveur d’un effort de reconnaissance, de promotion, encadré, des médecines non conventionnelles (Rapport du 16 mars 1997).
Les institutions françaises de la santé reconnaissent progressivement les Médecines Complémentaires et leurs apports. L’ancien Centre d’Analyse Stratégique, devenu le Commissariat général à la stratégie et à la prospective en avril 2013, s’était très favorablement prononcé en octobre 2012 en faveur d’un effort de classification, de communication et d’intégration des Médecines Complémentaires (voir le rapport : Propositions MAC_CAS_oct 2012).
La politique de notre association est en conformité avec cette approche des institutions et nous militons pour une meilleur information et une meilleure connaissance de ces pratiques.
Tour d’horizon
50 % des hôpitaux norvégiens et 30 % des hôpitaux danois proposent des médecines non conventionnelles. Source : Salomonsen L., Skovgaard L., La Cour S., Nyborg L., Launsø L. et Fønnebø V., Use of complementary and alternative medicine at Norwegian and Danish hospitals.
355 000 nouveaux cas de cancer en France, 13 millions dans le monde en 2012.
16 CHU en France ont déjà adopté des thérapies complémentaires. Source : Le Point n° 2124